Calendrier de l’avent inversé : comment ça marche?
Le calendrier de l’avent inversé, on en entend de plus en plus parler. Mais c’est quoi ? C’est un calendrier de l’Avent qui, plutôt que de recevoir, permet de donner quelque chose chaque jour, du 1er au 24 décembre. C’est un projet que je trouve très fort en sens, tant au niveau humain qu’au niveau de notre consommation. Des collectes sont organisées par des référents du projet, mais en réalité de nombreuses associations seront heureuses de recevoir ces dons.
Le calendrier de l’avent inversé : comment ça marche ?
Le concept du calendrier de l’avent inversé est très simple. Cela consiste à remplir une boîte d’articles de première nécessité (et pas seulement) pour ensuite l’offrir à des gens qui en ont besoin. Comment faire ?
- Prenez une boîte ou un carton vide.
- Définissez si elle sera offerte à un genre en particulier, ou unisexe.
- Chaque jour de décembre, ajoutez-y quelque chose : nourriture, couvertures, vêtements, chocolats, produits d’hygiène…
- Après 24 jours, faites-en don à une association qui en fera profiter ensuite quelqu’un dans le besoin (liste des points de collecte en France et en Belgique).
Que donner?
On peut mettre ce que l’on veut dans la boîte, de la première nécessité aux petits plaisirs. Voici une liste non-exhaustive de ce que peut contenir la boîte : nourriture non périssable, chocolat, bonbons, livre, magazine, vêtements, couverture, chaussettes moelleuses, jeu de cartes, jouets, savon, shampooing, préservatifs, serviette de toilette, déodorant, tickets de loterie…
Pourquoi le calendrier de l’avent inversé me plaît?
C’est un concept qui m’a tout de suite plu, car je trouve très beau, en cette période de haute consommation qu’est Noël, de dédier chaque jour quelques minutes à préparer une boîte de dons. C’est un très bon exercice à faire pour ne pas se lancer tête baissée dans l’achat de cadeaux inutiles qui ne serviront qu’à remplir encore plus nos armoires déjà pleines à craquer.
A la maison, on le fait avec une pointe de zéro déchet, en priorisant ce que l’on a en bon état mais dont on ne se sert pas. On ne se rend pas toujours compte des trésors caché dans nos armoires.